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Etonnante à plus d'un titre, la voix de Carlos Gardel a été déclarée patrimoine de l'Humanité par l'Unesco, qui présente officiellement l'artiste comme un « chanteur Argentin né en France ».

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LISTE DES LIVRES PUBLIES

En français et en espagnol


"Carlos GARDEL : ses antécédents français" de Monique RUFFIÉ - Juan Carlos ESTEBAN et Georges GALOPA

(Version française)

Editions CORREGIDOR de Buenos Aires - 2008

ISBN 978-950-05-1737-9




"Carlos GARDEL: sus antecedentes franceses" de Monique RUFFIÉ
de SAINT BLANCAT - Juan Carlos ESTEBAN
et Georges GALOPA

Editions CORREGIDOR de Buenos Aires - 2006

ISBN 950-05-1634-9




"Carlos Gardel, fils de Toulouse" de Christiane BRICHETEAU

Editions à compte d'auteur - 2010 - Impression : 31-Toulouse - Impr. Reprint

ISBN 978-2-9521606-1-2




"Carlos GARDEL: controversia y punto final" de Juan Carlos ESTEBAN - Monique RUFFIÉ et Georges GALOPA

(Version française)

Editions CORREGIDOR de Buenos Aires - 2010

ISBN : 978-950-05-1885-7




"Al rescate de Carlos GARDEL" - de Juan Carlos ESTEBAN et Georges GALOPA

Editions CORREGIDOR de Buenos Aires - 2012

ISBN 978-950-05-1984-7




"El PADRE de GARDEL" - de Georges GALOPA - Monique RUFFIÉ et Juan Carlos ESTEBAN

Editions PROA de Buenos Aires - 2012

ISBN 978-987-1766-58-1




D'autres livres seront ajoutés par la suite après consultation des auteurs ci-dessus qui me donneront leur avis sur la vérité contenue dans ces livres.

Carlos Gardel, de son vrai nom : Charles Romuald Gardés est né en France à Toulouse et non en Uruguay comme certains voudraient nous le faire accroire.

Ludovic Freppaz

.
« CARLOS GARDEL : ses antécédents français »


   Livre co-écrit par Monique RUFFIÉ, Juan Carlos ESTEBAN, et Georges GALOPA et publié par les Editions CORREGIDOR de Buenos-Aires.( édition française le 6.12.2007 du livre publié en avril 2006 : Carlos Gardel : sus antecedentes Franceses ).

   Ce livre regroupe l'ensemble des recherches minutieuses effectuées tant du côté français qu'argentin et se référant aux origines françaises du plus grand chanteur de Tango : Carlos Gardel, de son vrai nom Charles Romuald Gardes, né à Toulouse le 11 décembre 1890, et disparu tragiquement au sommet de sa gloire, le 24 juin 1935, dans une collision d'avions sur l'aéroport de Medellín en Colombie.

   Grâce à des documents d'archives, ce livre apporte des informations inédites sur sa naissance, sur sa première traversée de l'Atlantique à l'âge de 27 mois, et sur ses ancêtres toulousains du côté maternel, dont l'arbre généalogique a été établi sur 5 générations, c'est-à-dire jusqu'au milieu du 18ème siècle.

   Pour battre en brèche la thèse d'une hypothétique naissance en Uruguay, objet d'une forte polémique, les auteurs apportent des éléments irréfutables qui montrent que sa mère n'a pratiquement pas pu se rendre en Uruguay avant la naissance de son fils. D'autres points importants sont développés comme :

- les conditions de l'ouverture du testament du chanteur qui rendaient impossible toute falsification comme on l'a souvent prétendu ;
- l'étude approfondie des lois uruguayennes qui montrent que toute naissance même adultérine ne pouvait être dissimulée des registres d'état civil ;
- la situation militaire de Carlos Gardel où est expliqué comment il a réussi à échapper,comme beaucoup de Français résidant en Argentine, à la mobilisation générale du 1er août 1914, ce qui l'obligera par la suite à cacher ses origines françaises pour ne pas être inquiété lors de ses séjours ultérieurs en France ;
- les comparaisons entre les empreintes digitales relevées sur une fiche de police en 1904 avec celles du passeport établi à son nom en 1923, ainsi que des détails anatomiques mentionnés par la police en 1904 et 1913, et apparaissant sur des photos de l'artiste qui ne laissent planer aucun doute sur sa personne ;

   Sont, dans l'état actuel, également évoquées les demandes de recherche ADN auprès des autorités pour lever définitivement le doute.

Georges GALOPA et Monique RUFFIÉ sont respectivement vice-président et chargée de Relations publiques et de la Communication de l'Association Carlos Gardel de Toulouse.

Ils ont étés faits membres illustres et correspondants en France du «Centro de Estudios Gardelianos» de Buenos Aires.

NOTA :
La diffusion du livre en France est en cours de réalisation.

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Monique Ruffié

"Carlos Gardel, enquête sur une naissance" Monique Ruffié

Source : La Dépèche



galopa-esteban-ruffie

"Sur la piste du père de Carlos Gardel"
De gauche à droite : Georges Galopa, Monique Ruffié, Juan Carlos Esteban à Buenos Aires.

Source : La Dépèche



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Berthe GARDES, une mère courage.


Dans les textes du tango, la mère occupe une place privilégiée. A travers elle, c'est toute l'enfance qui resurgit, une enfance souvent heureuse et insouciante bercée par sa tendre présence et son affection. Par la suite hélas, la vie se charge d'apporter aux hommes leurs lots de peines et de déceptions. Parfois lorsque les échecs sont trop difficiles à supporter, la mère constitue le dernier refuge. Dans le tango "Madre hay una sola" , Carlos Gardel chante : "On n'a qu'une seule maman, et bien qu'un jour je l'ai oubliée, finalement la vie m'a montré qu'on doit revenir à son amour", et il termine sur ces paroles : "Pour elle je suis toujours un enfant, bénis soient ses cheveux gris,bénis soit son amour".

Pour Carlos Gardel, ces paroles avaient sans aucun doute une profonde résonance, car il pouvait s'identifier parfaitement au texte qu'il interprétait. En février 1935, il tape depuis Naw York à la machine à écrire une magnifique lettre à sa mère où il explique en détail ses activités et cherche à apaiser la peine provoquée par la séparation.
Je le cite : "J'éspère que tu m'écriras toujours pour me dire tous tes "petits secrets" que je lis toujours avec tendresse en me souvenant de ma maman qui est si loin en ce moment, mais qui sera bientôt toute proche, et un jour pas si lointain,... pour ne plus nous séparer et ne penser seulement qu'à nos petits "plaisirs" en compagnie de bons amis, comme deux voyageurs qui arrivent à destination, aprés avoir bataillé toute leur vie".

En Argentine , la mère de Carlos Gardel est appelée affectueusement "Dona Berta" et des démarches sont actuellement entreprises pour qu'une placette de Buenos Aires porte le nom de Berthe Gardes. En examinant le registre des naissances de l'Hospice de la Grave, on s'aperçoit que Berthe Gardes y fut admise le 10 novembre 1890, soit un mois avant la naissance de son fils pour en sortir le 26 décembre de la même année "avec l' enfant". Ce fait est mentionné dans notre livre "Carlos Gardel : ses antécédents français (auteurs: JC. Esteban, M. Ruffié , G.Galopa ).
En regardant de plus près les naissances dans cet hospice, on peut voir que beaucoup d'enfants étaient abandonnés, ce qui est assez révélateur, vu qu'à cette époque les naissances avaient normalement lieu au domicile des parents. Cette attitude courageuse Berthe Gardes l'a maintenue, en quittant la France pour l' Argentine dans le but de pouvoir élever dignement cet enfant, et effacer l'opprobre qui pesait sur les enfants nés de père inconnu. Et son fils Carlos Gardel, en plus de son immense talent se comporta avec gratitude envers cette mère à qui il devait beaucoup. Si j'insiste sur ce fait, c'est aussi pour défendre l'honneur de Berthe Gardes que je vois bafoué dans certains écrits où il est mentionné que "Berthe Gardes avait des prétentions, et voulait être la patronne". Ce ne sont pas les paroles qui comptent, mais les actes.

Lorsqu'on se dit historien, on ne doit citer que ce qui est prouvé. Par exemple, lorsqu'on écrit dans le même ouvrage que peu de temps avant l'accouchement de Berthe Gardes la boulangerie Barrat est en effervescence, que Jean Claire BARRAT, cousin de Berthe, 23 ans, s'active au pétrin, et que Marius Barrat va conduire dans l'urgence Berthe Gardes à l'hospice de la Grave en passant probablement par le pont St Pierre" je fais les constatations suivantes : Cela fait pratiquement un mois que Berthe Gardes est admise à l'Hospice de la Grave, Jean Claire Barrat, fait son service militaire et ne sera libéré qu'en septembre 1892, et rien ne prouve que le pont Saint Pierre ait été emprunté, vu qu'il n'y avait pas d'urgence et qu'il était à péage. Nous ne sommes plus dans le raisonnement scientifique, mais en plein roman. Ce qui est certain, c'est que Berthe Gardes a reconnu l'enfant le 22 décembre 1890, et par cet acte a assumé seule la tâche qui revenait légalement au pére.

Pour tout cela, elle mérite le respect et l'admiration, et son fils Carlos Gardel, s'est bien chargé d'honorer cette mère courage tout au long de sa vie, en reconnaissance pour tout l'amour qu'elle lui a prodigué.

Georges GALOPA, Vice Président de l'association "Carlos GARDEL"


Biographie de Monique RUFFIÉ


monique ruffié   Monique RUFFIÉ est professeur honoraire de l'Éducation nationale. Outre ses fonctions d'enseignante, elle a également été détachée auprès du ministère des Affaires étrangères, d'abord en tant que membre de la Mission universitaire française en Amérique du Sud, puis à Paris comme Directrice générale de France-Québec. Aujourd'hui, elle consacre la plupart de son temps à faire du bénévolat.

   Elle est, depuis toujours, passionnée de littérature et d'écriture, en particulier dans le domaine de la poésie où elle a remporté de nombreux prix parmi les plus prestigieux, notamment :

- Jasmin d'argent pour la langue française à l'Académie des Jeux floraux (Agen, 2003)

- 1er prix ex aequo au concours international de poésie de l'Alliance française (Lyon, 2003)

- 1er prix au concours de poésie Louis Amade (Président du jury : Pierre Delanoë) (Paris, 2004)

Et bien d'autres encore. Voir sur le site : www.salondulivre.jimdo.com



Bibliographie


  • La colline du printemps (poésie), ill. de Blas Gimeno Ribelles, éd. Lazare et Capucine (Sucy-en-Brie), 2019.
  • La malédiction (roman), éd. Les Presses Littéraires (Saint-Estève), 2017.
  • La part de l'ombre (poésie), préf. de Marie-Claude Nougué-Grimoud, éd. Les Éditions du Net (Suresnes), 2014.
  • El padre de Gardel (biographie), en collab. avec Georges Galopa & Juan Carlos Esteban (Argentine), éd. Proa Amerian (Buenos Aires), 2012 (édition en espagnol).
  • Carlos Gardel : controversia y punto final (biographie), en collab. Avec Juan Carlos Esteban & Georges Galopa, éd. Corregidor (Buenos Aires), 2010 (édition en espagnol).
  • Carlos Gardel : ses antécédents français (biographie), en collab. avec Juan Carlos Esteban (Argentine) & Georges Galopa, éd. Corregidor (Buenos Aires), 2007.
  • Méandres (poésie), éd. Association des Amis de Louis Amade et la SACEM (Paris), 2006.
  • Les errances du cœur (poésie), préf. de Chris Bernard, ill. de Céline Boudard, éd. Poésie Vivante (Puyméras), 2004.
  • Transparences (poésie), préf. de Claude Couffon, ill. d'Atilio Buriano (Uruguay), en collab. Avec Jorge Medina Vidal (Uruguay), éd. Éché (Toulouse), 1987 (édition bilingue français-espagnol).




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